Reconnaissance de mérite : Lauréat du concours d’entrée à l’ENA de Paris, édition 2018-2019-Cycle international des IRA, Mouhamed B. DIARRA, le prodige de Soninkégny,  s’est encore illustré, en réalisant une performance ahurissante  

Sene Kunafoni

Avec une moyenne de 19/20 dans les épreuves individuelles de classement à l’IRA de Metz, le nanti de 4 titres de « major de promotion », Mohamed DIARRA, le jeune  Economiste du développement, chef de service concurrence à la Direction Générale du Commerce (DGCC), ne surprend plus son cercle relationnel. Car, il est connu par ses records dans les compétitions académiques et notamment à l’Ecole Nationale d’Administration (ENA) du Mali où il a fait honneur à sa promotion (2013-2015) en devenant le premier élève-fonctionnaire à obtenir une moyenne finale de 16/20.

Subséquemment à une spécialisation en Administration économique et financière à l’ENA du Mali, dans le corps des Inspecteurs des services économique, Mouhamed a opté pour la consolidation d’un parcours déjà riche et varié. Dans cette optique, il a effectué une série de formations de spécialisation, entres autres en: Analyse et pratiques du développement (D.E.A./USSGB de Bamako) ; Méthodes d’analyse de politiques commerciales (Certificat International à l’Institut Africain de Développement Economique et Planification de Dakar) ; Droit et politique de la concurrence (Certificat International à la Haute Ecole Spécialisée Zurichoise en Suisse). Actuellement en France, il est en train d’achever, à l’IPAG de Strasbourg,  une spécialisation en Management de la Performance Publique. Du reste, il doit prochainement soutenir une thèse de doctorat (Phd) en Economie du développement à l’ISFRA de Bamako.

Pleinement engagé dans la formation de la jeune génération, Mouhamed, du haut de ses 29 ans, jouit d’une réputation à la hauteur de son génie, dans le monde de l’enseignement. D’ailleurs,  il souhaite se consacré entièrement au métier d’enseignant chercheur. Pour lui, je cite : « en enseignement, peu importe les barrières, l’excellence finit par se manifester. Cela reste valable et pour les apprenants, et pour les formateurs. Par contre en administration, avec des méthodes de management anachroniques, les bonnes idées finissent toujours par étouffer les cadres qui les produisent. En gros au Mali, le mode de gestion administrative est hostile à l’excellence» fin de citation.

 

Dognoume DIARRA

 

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