SANTÉ: LE DR FATOGOMA TOGOLA ACCUSE MADAME DIEMINATOU SANGARÉ, MINISTRE DE LA SANTÉ ET DU DÉVELOPPEMENT SOCIAL D’ÊTRE EN MISSION DE DESTABILISATION CONTRE LUI

Sene Kunafoni

Face à cette situation préoccupante de sa part, le Dr Pharmacien Fatogoma Togola, fonctionnaire de classe exceptionnelle prend les maliens en témoins.

 » Chers maliennes et maliens, compatriotes maliens, il est très rare que je parle de mon service publiquement ; mais pour l’amélioration des indicateurs et la qualité des soins de santé, je ferai toujours des propositions de solutions, à cause du peuple malien et de ma nation, le Mali. Après plus de vingt (20) ans de services, à commencer par Kidal et ensuite faire le tour du Mali pendant des années dans le cadre de mon travail, je laisse le soin aux cadres maliens et à d’autres d’apprécier mes compétences, mon parcours, mes expériences, mes expertises et mes résultats dans certains domaines, mon patriotisme et mon amour pour ma profession de pharmacien et mon rôle d’homme de santé, et d’homme d’Etat.
Après avoir été reçu à l’époque par Monsieur le Premier Ministre par intérim, le Colonel Abdoulaye MAIGA, le 12 septembre 2022, avec tous les honneurs et des félicitations, pour mon combat pour la qualité de la ressource humaine de qualité, pour la qualité des soins de santé au Mali, et mon combat pour le peuple malien ; et aussi reconnu comme tel depuis avant par d’autres personnalités maliennes et étrangères ; je suis très fier de moi, de ma famille, de mon peuple et de ma nation, le Mali. Sans rentrer dans les détails publiquement, j’ai déjà envoyé une lettre confidentielle à Madame le Ministre de la santé et du développement social, Diaminatou SANGARE, si vous êtes en train de me combattre pour me déstabiliser à travers le chef de la section immunisation de la Direction Générale de la santé et de l’hygiène publique, pour mes prises de positions techniques et politiques, vous avez tout faux. Comprenez qu’à chaque action néfaste contre ma personne, je reçois de la force en moi, c’est un fait divin ; et au même moment je me dis que je suis toujours sur le bon chemin, celui de la vérité,  » a-t-il mise en garde.
Ainsi il exhorte Madame Diéminatou Sangaré de sortir très vite de ce combat contre sa personne pour ne pas échouer lamentablement au vu et au su de tout le peuple malien.  » Comme depuis, il y’a des années, des politiciens maliens et des cadres maliens ont essayé de me combattre par rapport à mes prises de positions politiques et techniques, en essayant de me faire renvoyer de la fonction publique gratuitement et injustement ; et après leurs échecs, les uns et les autres ont la prison et d’autres sont en train de finir leurs vies dans la détresse totale, parce qu’aussi mon cœur est pure et propre envers les autres. De plus, tout simplement aussi, parce que, comme certains maliens l’ont fait, j’ai cherché du bois dans les forêts de Kati pour ma mère, j’ai pilé pour ma mère, je suis parti cherché des condiments au grand marché de Kati pour ma mère, j’ai cuisiné à la place de ma mère, j’ai lavé les habits de ma mère, je remplissais d’eau les canaries de ma mère à plus de deux (2) Kilomètres de notre maison (du grand puit à côté de la mairie de Kati à Samakébougou) et souvent dans les logements du SONAREM parce qu’à l’époque je ne voulais pas que ma mère boive de l’eau du puit de la maison qui n’était pas trop potable pour ma mère ; avant que mon père ne soit le premier à faire l’addiction d’eau dans notre quartier. En plus de tout cela, je ne rentrerai jamais dans certains détails, jusqu’à la fin de ma vie. Dans tout cela, à l’école du camp soundiata de Kati, de la première année fondamentale au DEF, je n’ai jamais, été deuxième, toujours premier de ma classe ; sur ceux, allez –y demander certains Katois, et certains de mes maitres et professeurs de l’école fondamentale, ils vous témoigneront.
Madame Diaminatou SANGARÉ, si et seulement si, vous êtes engagée dans ce combat contre ma personne afin de me déstabiliser, encore une fois, personne sur terre ici-bas, ne pourra me déstabiliser, ni m’humilier ici au Mali, jusqu’à la fin de ma vie, c’est un fait de Dieu. Nous estimons que, la section immunisation, de la Direction nationale de la santé et de l’hygiène publique, est un service public, à vocation et à gouvernance publiques, diamétralement opposés à certaines vocations et à certaines gouvernances.
Mes prises de positions techniques et politiques, ne sont contre personne ; au contraire c’est pour améliorer la qualité des affaires de ma profession et de mon service, de mon ministère, des affaires du peuple malien et de la nation malienne, et celles du Mali. Mes parents, ma famille, mes amis, mon quartier et ma communauté, ma profession et le système de santé, les maliens à travers l’argent du contribuable malien, ma patrie, le Mali, ont fait de ce que je suis aujourd’hui, je suis dans une obligation de les défendre, sans état d’âme et sans parti pris, » a-t-il conclu.

La rédaction

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