Ethica ou propharmed international est une agence de promotion des médicaments qui regroupe en son sein plusieurs laboratoires pharmaceutiques parmi lesquels SANOFI, dont la direction Afrique est basée à Abidjan et qui est dirigée par un français. Selon nos informations, c’est justement SANOFI qui aurait envoyés plusieurs délégués médicaux au chômage de manière abusif.
Selon nos informateurs, le mois de novembre dernier le groupe Ethica ou propharmed international au compte du laboratoire SANOFI à procéder au licenciement de 3 de ses employés pour raisons économiques. N’ayant pas pu supporter cette situation, l’un d’entre eux saisira la direction du laboratoire SANOFI à travers un mail pour accuser ses collègues qui ont été garder par l’entreprise.
En effet, il aurait dit que ses ex collaborateurs faisait des deals et corruptions avec l’argent de l’entreprise. Selon lui, ont faisaient des détournements et recèles d’argent qu’on versait aux médecins en contre parti des prescriptions de nos produits.
‘’Suite à cette dénonciation, une équipe composée du Directeur des ressources humaines, du Directeur des Operations, du Directeur de la compliance et du Business Unit Manager a été dépêcher par la direction générale de Ethica ou propharmed international au compte du laboratoire SANOFI pour enquête au Mali.
A l’arrivée de la délégation, nos téléphones personnels ont été confisqué et nos données personnelles ont été fouillé sans notre consentement. Aussi, nos matériels de travails ont été saisies, avant de nous faire subir des interrogatoire presqu’humiliantes.
Pour dire vrai, nous avons été séquestrés, menacé, intimité. Mieux, on n’avait pas le droit de se parler, comme si nous étions des vulgaires voleurs. Enfin, ils nous ont forcés à rendre la démission. A défaut de quoi, ils ont promis de nous licencier sans indemnisation et en salissant nos noms. Conscient que nous n’avions rien à nous reprocher, nous avons refusé de démissionner.
Après cette série d’humiliation, nous avons reçues des demandes d’explications préétablies dans lesquelles on nous accusait de détournements et recèles d’argent qu’on versait aux médecins en contre parti des prescriptions. Nous leurs avons expliqué que nous ne sommes pas auteurs de ses faits qui nous sont reprocher.
S’il ne s’agissait pas d’une conspiratrice interne de notre collègue licencié et de certains responsables de l’agence Ethica ou propharmed international, cette histoire allait s’arrêter là. Pourtant, malgré nos explications clairs et détaillées, ils n’ont eu d’autres choix que de nous adresser des lettres de suspension sans solde avec une intention de nous licencier dans les brefs délais.
Notons que la seule preuve qu’ils disent détenir est des captures d’écrans d’un groupe WhatsApp imaginaire qu’ils ont certainement créé en piratant nos téléphones qu’ils avaient confisqué. Les multinationales comme le groupe Ethica ou propharmed International sont capable de toutes machinations pour se débarrasser des employés qui les gênent, car bien évidement tous ces plans machiavéliques étaient déjà préparer à Abidjan par le Country Manager de Ethica au Mali et cette délégation.
Nous les dérangions car nos salaires étaient parmi les plus élevés de Ethica ou propharmed international nos conditions et autres avantages étaient nettement plus élevé que ceux des autres laboratoires, le Country Manager de Ethica ou propharmed international au Mali a une obsession farouche de pouvoir avoir le contrôle sur SANOFI, donc si nous on partait la gestion et les recrutements des nouveaux lui revenait il allait alors assoir sa suprématie et ses vœux se sont réaliser.
Nous écrivons au journal le confident afin d’informer les autorités du Mali et les professionnels de santé qui sont prescripteurs des produits de SANOFI que nous avons subi des abus provenant de la direction de Ethica ou propharmed international au compte du laboratoire SANOFI.
Nous les attendons au tribunal du travail pour qu’enfin l’État malien puisse connaitre véritablement le statut juridique d’Ethica ou propharmed international au compte du laboratoire SANOFI’’, ont-ils fait savoir.
Affaire à suivre…
La rédaction